Installe-toi confortablement, avec la physique quantique, on a du mal à suivre !
Applications des lois quantiques au problème de la loi de la tartine beurrée :
Les lois quantiques semblent entraîner des phénomènes inattendus dans l'observation pratique du théorème des tartines beurrées.
En effet, les lois quantiques stipulent que l'on ne peut pas obtenir en même temps toutes les informations concernant une particule à un instant t ( vitesse, position, état ). Donc, concernant les particules de tartines beurrés, si on les voit tomber, alors, la face beurrée ( ou recouverte par tout type de produit alimentaire, y compris le nutella ) touche le sol la première ( loi de Murphy ) MAIS il est impossible de savoir si la face beurrée de la tartine au sol est la même que la face que l'on a soi-même beurrée ! En effet, en matière quantique, une particule peut se trouver à 2 endroits à la fois au même moment !
Ainsi, les particules beurrées lors de la chute se trouvent dans un champ d'incertitude probabiliste ( "principe d'incertitude" ) qui permet au beurre de se trouver sur les deux faces de la tartine simultanement. Au contact du sol, le champ probabiliste se rompt et les particules de beurre se positionnent sur la face contre terre ( quelle qu'elle soit ! ). La pose d'une marque sur l'autre face ne permet pas de contrer cet effet, les particules de la marque se trouvant alors plongées dans le champ quantique et pouvant donc apparaitre sur n'importe laquelle des 2 faces ( comme toutes autres marques ou points de repère, l'observation de ces points engendrant l'effet quantique )
L'application de ce principe remet en cause la théorie de lévitation felino-tartinique. En effet, tant que le système chat/tartine ne s'écrase pas au sol, il est maintenu dans le champ d'incertitude probabiliste et donc ne pose pas de paradoxe insoluble. Une fois le systeme entré en contact avec le sol, il est trop tard pour observer la dualité du complexe félino-tartinique écrasé sous le vaisseau spatial, les pattes et le beurre se mettant alors en conformité avec les lois naturelles.
Cas de l'œuf beurré : l'œuf beurré semble être la solution la mieux adaptée concernant le problème de l'antigravité.
Considérons un œuf ( cru ou cuit ). beurrons sa surface dans son intégralité. lors de sa chute, l'ovoïde sera plongé dans le champ d'incertitude quantique décrit ci-dessus. Les particules de beurre sont donc présentes simultanement sur toute les faces de l'ovoïde MAIS PAS À L'INTÉRIEUR, l'œuf étant plein. Lors du contact avec le sol ( ou toute surface coupant la trajectoire œuf/centre-du-corps-planétaire ) le champ d'incertitude se rompt le beurre se positionne sur la surface de l'œuf en contact avec le sol.
Mais l'œuf casse et il existe une très forte probabilité qu'un éclat de coquille se retrouve alors face interieure contre sol c'est à dire face non beurrée CE QUI EST IMPOSSIBLE.
Ce cas pose une double question : qu'arrive-t'il donc à un œuf-plein/beurré en chute libre ? Est-il maintenu en l'air ( antigravité ) ou devient-il incassable lors du contact avec le sol ( Supra-résitance-moléculaire ) et dans ce cas pour combien de temps ?
Un problème se pose néanmoins : qu'arrive t'il à notre systeme œuf-plein/beurre, si on se met à considérer les systèmes éclats-de-coquilles/beurres comme autant de systemes quantiques indépendants en chute libre ???
Dans tous les cas, si il était prouvé que ce système engendre un champ antigravitationnel par opposition paradoxale probabiliste, alors le problème majeur du systeme félino-tartinique ( l'ingestion de la tartine beurrée par l'animal ) n'aurait plus lieu d'être posé.
L'antigravité par système félino-tartinique peut pourtant rester valable à haute altitude, l'atterissage du chat pouvant être alors comparé à celui de l'œuf.
Attraction félino-journalistique :
Tout le monde connaît aujourd'hui la célèbre découverte de l'antigravité, celle-ci n'étant autre qu'une application des attractions féliniennes et beurrières qui, conjuguées, produisent une force de répulsion félino-tartinique.
C'est en particulier ainsi que l'on connaît l'explication du bruit que produisent les soucoupes volantes.
Or, de récentes expériences ont mis en lumière une autre force jusqu'à présent inconnue des scientifiques murphystes.
La plus simple peut se faire chez tout un chacun.
Le matériel requis est le suivant :
- un chat, de préférence jeune et en bonne santé
- une table, par exemple celle de votre salle à manger
- un journal quelconque
- un expérimentateur, vous
- Commencez par poser le journal sur la table.
- Ouvrez-le à une page quelconque
- Regardez attentivement cette page
Le résultat ne se fait pas attendre : le chat se retrouve allongé de tout son long sur le journal, à l'endroit précis que vous fixiez.
Cette découverte a fait grand bruit parmi les militaires. Ceux-ci, toujours craintifs d'une éventuelle attaque extra-terrestre, ont déjà mis en place dans le désert du Nevada une immense étendue de journaux prêts à être intensément lus par des experts en murphisme, dans l'espoir d'annuler l'effet félino-tartinique qui maintient les soucoupes en vol.
Des questions cependant, restent en attente de recevoir une réponse. Ainsi :
- Est-il possible que cette attraction félino-journalistique soit réciproque ? Autrement dit, le journal serait-il lui aussi attiré par les félins ?
- La loi régissant cette force demeure inconnue.
On ne sait donc si cette attraction est proportionnelle à la distance séparant journal et félin.
- Certains expérimentateurs ont proposé une explication troublante. En fait, le chat apparaîtrait sur le journal.
En effet, de nombreux testeurs ne voient le chat que lorsqu'il "apparaît" sur le journal.
Il s'agirait alors d'un phénomène de dématérialisation/rematérialisation, ce qui pourrait conduire à de fabuleuses découvertes.
- Existe-t-il d'autres forces de ce type ?
On a déjà songé aux possibilités chat/canapé, chat/pieds de dormeur.
D'autre part, il existerait également une force de translation canino-baballique, laquelle est actuellement testée dans nos laboratoires spécialement équipés.
Parachutes et biscottes :
Il y a bien longtemps, les aviateurs utilisaient du beurre pour se tenir les cheveux et ne pas se décoiffer ( les avions étaient ouverts jadis et la colle ou le gel pas assez puissants ). Ils connaissaient bien la loi de Murphy et ils décidèrent de trouver une parade pour ne pas retomber du côté du beurre, et donc la tête la première, lorsqu'ils s'éjectaient. Ainsi ils trouvèrent le parachute qu'ils accrochèrent dans le dos. Le parachute à en effet la faculté de retenir l'air qui lui permet de se stabiliser et de garder une position verticale, tête vers le haut ( malgré le beurre qui tente de retourner le tout !!! )
Dix ans plus tard un inventeur désirant garder l'anonymat nous fit part de son idée de mettre un parachute à ses tartines de beurre. Hélas, les tartines n'ont pas de dos pour accrocher le parachute. Donc son étude se prolongea plus loin. C'est alors que furent inventées les biscottes. Leurs petits trous, bouchés par le beurre, forment des dizaines de petits parachutes ( qui n'ont pas besoin de dos pour s'accrocher )
Ce fut une révolution ! Mais la loi de Murphy à plus d'un tour dans son sac ! Dès lors, la tartine, dont la structure interne est affaiblie par les petits trous, se casse dans la main de la personne qui se faisait sa tartine. Le beurre se répand alors dans la main du malheureux.
épilogue :
Pourquoi vous ai-je donné tout ça a lire ? et bien figurez vous que la semaine dernière, j'ai entendu à la radio que des scientifiques venaient de trouver pourquoi la tartine tombe toujours du coté beurré Oo
C'est authentique ... des gens sont payés pour ça ... pour de vrai ... et en fait ils ont établis que le fait de beurrer la tartine rendait celle-ci légèrement courbe ... la pression exercée pour appliquer le beurre par le tartineur fait que la tartine devient propice, aérodynamiquement parlant, au retourné simple, et donc a ne faire qu'un demi tour et se ramasser la gueule du coté beurré, nutellaté ou confituré ...
Bref, on s'autopiège !
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